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Par l’équipe de World Tribune – Le 4 juin 2017
L’élévation du niveau de la mer est appelée « le plus grand mensonge jamais raconté ».
Les chercheurs prédisent maintenant que les niveaux des mers pourraient augmenter de près de deux fois plus que prévu vers l’année 2100, l’homme étant le coupable en raison des émissions continuelles de dioxyde de carbone.
Christopher Booker, chroniqueur du Telegraph du Royaume-Uni, soutient que les prédictions d’une augmentation catastrophique des niveaux des mers est « le plus grand mensonge jamais raconté ».
« Si une chose est utilisée plus que toute autre chose pour justifier des propositions selon lesquelles le monde doit dépenser des dizaines de trillions de dollars pour lutter contre le réchauffement climatique, c’est bien la croyance que nous devons faire face à une élévation désastreuse des niveaux des mers » a écrit Christopher Booker en mars 2009. « On nous dit que les calottes glaciaires de l’Antarctique et du Groenland fondront, que le réchauffement des océans augmentera et que le résultat sera une catastrophe ».
Bien que le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur les Changements Climatiques (GEIC) de l’Organisation des Nations Unies ne prédit qu’une augmentation de 59 centimètres (17 pouces) des océans d’ici 2100, Al Gore, dans son film gagnant d’un Oscar, Une Vérité Gênante, a été beaucoup plus loin, en parlant de 20 pieds et en montrant des graphiques informatiques des villes comme Shanghai et San Francisco à moitié sous l’eau, a noté Christopher Booker.
« Nous connaissons tous le graphique montrant le centre de Londres dans un problème similaire. En ce qui concerne les petites nations insulaires, comme les Maldives et Tuvalu, comme l’a dit le prince Charles et comme l’Archevêque de Canterbury l’a de nouveau proclamé la semaine dernière, elles doivent disparaître. »
Toutes les discussions sur la montée de la mer « ne sont qu’une histoire effrontée et colossale », a déclaré Christopher Booker, en citant le géologue et physicien suédois Nils-Axel Morner, ancien président de la Commission Internationale INQUA sur les Changements des Niveaux des Mers, qui « a utilisé depuis 35 ans toutes les méthodes scientifiques connues pour étudier les niveaux des mers partout dans le monde ».
En dépit des fluctuations à la baisse aussi bien qu’à la hausse, « la mer ne s’élève pas » dit Christopher Morner. « Il n’y a pas eu d’élévation depuis 50 ans ». S’il y a une augmentation pendant ce siècle, « elle ne sera pas de plus de 10 centimètres (quatre pouces), avec une incertitude de plus ou moins 10 centimètres ». Et, bien loin d’examiner les preuves dures, dit-il, les lois élémentaires de la physique (chaleur latente nécessaire pour faire fondre la glace) nous disent que « l’apocalypse évoquée par Al Gore et Cie. ne pourrait possiblement pas se produire. »
Nils-Axel Morner et Christopher Booker soulignent, « être tellement certains que ces allégations concernant l’élévation des niveaux des mers sont 100 pour cent fausses, parce qu’elles sont toutes basées sur des prédictions de modèles informatiques, alors que leurs résultats sont basés sur le fait d’être allés sur le terrain pour observer ce qui se passe réellement dans le vrai monde ».
Lors de sa direction de la Commission Internationale sur le Changement des Niveaux des Mers, Christopher Morner a lancé un projet spécial sur les Maldives « dont les dirigeants ont depuis 20 ans demandé de vastes sommes d’aides internationales pour éviter les désastres » a écrit Christopher Booker. « Six fois, lui et son équipe d’experts ont visité les îles, pour confirmer que le niveau de la mer n’avait pas augmenté depuis un demi-siècle. Avant d’annoncer ses résultats, il a proposé de montrer aux habitants des îles un film expliquant pourquoi ils n’avaient rien à craindre. Le gouvernement a refusé de le laisser montrer ».
De même, à Tuvalu, où les dirigeants locaux ont demandé que les habitants soient évacués depuis 20 ans, « la mer a effectivement diminué au cours des dernières décennies » a écrit Christopher Booker. « La seule preuve que les témoins peuvent citer est fondée sur le fait que l’extraction des eaux souterraines pour la culture des ananas a permis à l’eau de mer de s’infiltrer pour la remplacer ».
Christopher Booker a ajouté qu’une des « découvertes les plus choquantes de Nils-Axel Morner était la raison pour laquelle le GIEC a pu montrer que les niveaux des mers avaient augmenté de 2,3 millimètres par année. Jusqu’en 2003, leurs propres preuves satellitaires ne présentaient aucune tendance à la hausse. Mais, soudainement, le graphique a grimpé parce que les experts privilégiés du GIEC avaient tiré parti de la découverte d’une seule jauge de marée dans le port de Hong Kong montrant une hausse de 2,3 millimètres. L’ensemble de la projection globale des niveaux des mers a ensuite été ajusté à la hausse par un « facteur correctif » de 2,3 millimètres, parce que, comme l’ont reconnu les scientifiques du GIEC, ils « avaient besoin de montrer une tendance ».
Nils-Axel Morner a déclaré qu’il était « étonné de constater qu’aucun de ses 22 auteurs contributeurs sur les niveaux des mers n’était un spécialiste des niveaux des mers, pas un seul ».
Pourtant, les résultats de cette « ignorance délibérée » et de la dépendance à l’égard de modèles informatiques frauduleux sont devenus « le conducteur unique le plus puissant de toute l’hystérie du réchauffement » a écrit Christopher Booker.
Source : World Tribune
Traduit par PLEINSFEUX.ORG
